Voici dans les grandes lignes le cursus de mon grand père maternel Pierre Kientz :
Mon grand-père s'appelait Pierre KIENTZ
Pierre KIENTZ a passé presque 5 ans au Stalag XVII B en Autriche (après avoir fait un transit rapide au Stalag VII A en Allemagne).
Né le 28 juillet 1918 à Paris, d’origine alsacienne. Marié à Louise CHASSOT en 1939, ils eurent une fille, Ginette (ma mère), née en mars 1940.
N° de matricule prisonnier : 77894
Fait prisonnier le 25 juin 1940, rentré en France le 13 mai 1945
Au Stalag XVII B en Autriche, il a surtout été affecté dans des commandos qui travaillaient dans des fermes.
Il m’a toujours affirmé que les allemands et les autrichiens l’avaient bien traité mais qu’il y avait souvent des problèmes au sein des commandos même (entre les hommes).
Il a tenté de s’évader deux fois mais n’a jamais réussi à franchir la frontière.
Il est revenu en France en mai 1945 malade, atteint de la dysenterie amibienne (amibes dans les intestins) attrapée dans les camps (il a souffert des rechutes de cette pathologie jusqu’à la fin de sa vie).
Il a exercé à son retour à Paris le métier de papetier.
Malgré cet itinéraire douloureux, il a vécu jusqu’à 95 ans (mort en 2013 à Menton).
Mon grand-père s'appelait Pierre KIENTZ
Pierre KIENTZ a passé presque 5 ans au Stalag XVII B en Autriche (après avoir fait un transit rapide au Stalag VII A en Allemagne).
Né le 28 juillet 1918 à Paris, d’origine alsacienne. Marié à Louise CHASSOT en 1939, ils eurent une fille, Ginette (ma mère), née en mars 1940.
N° de matricule prisonnier : 77894
Fait prisonnier le 25 juin 1940, rentré en France le 13 mai 1945
Au Stalag XVII B en Autriche, il a surtout été affecté dans des commandos qui travaillaient dans des fermes.
Il m’a toujours affirmé que les allemands et les autrichiens l’avaient bien traité mais qu’il y avait souvent des problèmes au sein des commandos même (entre les hommes).
Il a tenté de s’évader deux fois mais n’a jamais réussi à franchir la frontière.
Il est revenu en France en mai 1945 malade, atteint de la dysenterie amibienne (amibes dans les intestins) attrapée dans les camps (il a souffert des rechutes de cette pathologie jusqu’à la fin de sa vie).
Il a exercé à son retour à Paris le métier de papetier.
Malgré cet itinéraire douloureux, il a vécu jusqu’à 95 ans (mort en 2013 à Menton).
